L’Ascension
1. Seigneur, je te suis jusqu’au ciel; mon cœur et mon esprit te suivant dans ton Ascension. Jamais ne vit-on triomphe semblable au tien. Tu es apparu pour la première fois comme un tout petit enfant revêtu de chair humaine à Bethléem. Cette chair, prise de la Bienheureuse Vierge Marie, n’existait pas avant que tu n’en façonnes ton corps ; c’était une œuvre nouvelle de tes mains. Et ton âme, également œuvre de ton Omnipotence, était entièrement nouvelle au moment où tu entras dans le sein sacré de la Vierge. Cette âme et ce corps purs, qui te servirent de vêtements, n’avaient jamais existé auparavant sur terre. C’est le triomphe : la terre s’élève jusqu’aux deux. Je te vois monter.

1. Seigneur Jésus, combien merveilleuses furent tes conversations avec tes disciples après ta résurrection. Quand tu cheminas avec deux d’entre eux vers Emmaüs, tu leur expliquas toutes les prophéties te concernant. Tu as commis aux apôtres les sacrements, les vérités que tu as bien voulu nous révéler, ainsi que
«Mais qui s’avise de ses faux-pas? Purifie-moi du mal secret » (Ps 19, 13).
« Il jeûna quarante jours et quarante nuits, après quoi il eut faim »
1) La familiarité de Jésus
Jésus lui dit : « M’aimes-tu plus que ceux-ci ? » (Jn 21, 15)

Vi ringrazio, Monsignore, per la partecipazione che m’avete fatto, dell’alto onore che il Santo Padre si è degnato conferire sulla mia umile persona, (Je vous remercie, Monseigneur, de m’avoir fait part du grand honneur que le Saint-Père a daigné conférer à mon humble personne,)
« C’est lui qui, aux jours de sa chair, ayant présenté, avec une violente clameur et des larmes, des implorations et des supplications à celui qui pouvait le sauver de la mort, et ayant été exaucé en raison de sa piété, tout Fils qu’il était, apprit, de ce qu’il souffrit, l’obéissance » (He 5,7-8).